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Marine nationale

FRANCOIS-HENRI BRIARD A PARTICIPE A LA MISSION JEANNE D’ARC 2019
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FRANCOIS-HENRI BRIARD A PARTICIPE A LA MISSION JEANNE D’ARC 2019
18 septembre 2019
La Mission Jeanne d'Arc est un déploiement opérationnel de longue durée d’un groupe amphibie de la Marine nationale. Elle permet aux officiers élèves de l'Ecole navale en fin de scolarité d’apprendre leur métier à la mer en appréhendant ainsi au mieux la complexité des missions et des différents théâtres d’opérations. Le groupe a notamment pour objectif la réalisation de missions militaires à dominante amphibie, de missions de souveraineté et d’assistance humanitaire tout en renforçant l’interopérabilité interarmées et interalliée. En parallèle de tous ces objectifs : une mission de de formation des officiers élèves dans un contexte opérationnel. Après un tronc commun, ceux-ci débutent une nouvelle étape de leur cursus : l’enseignement par spécialité. Monté à bord à Ponta Delgada et héliporté à Malaga, François-Henri Briard, Capitaine de Frégate de la Réserve citoyenne, a participé cette année encore à la Mission. Il a notamment prononcé à bord trois conférences sur l'offense au Chef de l'Etat, les droits civils et politiques du personnel militaire et la responsabilité pénale des militaires en opérations.
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MISSION JEANNE D’ARC 2016 DE LA MARINE NATIONALE: FRANCOIS-HENRI BRIARD A BORD DU BPC TONNERRE
29 août 2016

La mission Jeanne d’Arc 2016 est partie de Toulon le 3 mars 2016; elle y est rentrée le 21 juillet. Ce déploiement opérationnel de longue durée d’un groupe amphibie a été, pour sa 7èmeédition, articulé autour du bâtiment de projection et de commandement (BPC) Tonnerre et de la Frégate de type La Fayette (FLF) Guépratte. La mission a été déployée en Méditerranée orientale, en océan Indien, en mer de Chine méridionale et en Océanie pendant plusieurs mois. Elle est l’exemple même de la diversité des missions que la Marine nationale conduit dans un cadre interarmées et interallié, et son déploiement a été l’occasion de renforcer les liens de la France avec divers pays à travers des exercices conjoints et rencontres. Comme tout bâtiment déployé, le groupe a également été en mesure, si besoin et sur ordre du chef d’état-major des armées, d’être engagé en opérations. En tant que déploiement amphibie, le groupe Jeanne d’Arc a embarqué un détachement de l’armée de terre : soixante militaires de la 6èmeBrigade Légère Blindée et des véhicules légers du 21èmeRégiment d’Infanterie de Marine. Des militaires et hélicoptères de l’aviation légère de l’armée de terre étaient aussi présents dans le groupe Jeanne d’Arc. Pour les 130 jeunes officiers français et étrangers issus de l’ École navale, ainsi que du commissariat des armées, de santé militaire, et des affaires maritimes, ce déploiement opérationnel est une formation pratique en situation réelle leur permettant de développer leur posture de chef militaire et d’expert dans leur domaine. Parmi ces officiers, la mission Jeanne d’Arc accueille pour la première fois 29 officiers sous contrat dits « Nouvelle Génération », c’est-à-dire titulaires d’un diplôme d’études supérieur et ayant été intégrés à l’ École d’Application des Officiers de Marine. 234 présentations au ravitaillement à la mer, 120 exercices d’hommes à la mer, plus de 100 entraînements de sécurité réels et 1000 exercices de sécurité papier ont été menés depuis le départ de la mission le 3 mars. 1 430 manœuvres d’aviation ont été réalisées, le plus souvent avec le Guépratte. La participation des troupes américaines illustre un des aspects majeurs de ce déploiement, l’approfondissement de notre capacité à travailler avec les marines amies. Le groupe « Jeanne d’Arc » a ainsi mis à profit chaque occasion pour réaliser des manœuvres d’aviation ou navales avec des moyens étrangers : hélicoptères NH90 omanais, frégates singapourienne, indienne, japonaise, malaisiennes, vietnamienne… autant d’occasions de s’entraîner à opérer avec les équipages étrangers. « Les cross deck avec les marines alliées, notamment un SH60 japonais et un MH60 américain, ont pu renforcer notre niveau d’interopérabilité » souligne ainsi le maître Julien, directeur de pont du Guépratte.

Ces échanges opérationnels et les escales réalisées ont contribué au rayonnement de la France dans ces pays amis. Des moments de découverte qui ont permis de se régénérer entre des périodes de mer très intenses. Naviguant en océan Indien, en mer de Chine et jusqu’en Australie, le groupe «  Jeanne d’Arc » a pu porter haut les couleurs de la France sur une large partie du globe.

Embarqué à DJIBOUTI et débarqué à HAIFA, François-Henri BRIARD a participé à une partie de la mission notamment en présentant une conférence à bord sur les nouveaux droits politiques et syndicaux du personnel militaire français.

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Défense : A bord de la Frégate anti-sous-marine, Primauguet
23 novembre 2014
FREGATE PRIMAUGUET Mise sur cale le 19 novembre 1981 Lancée le 17 mars 1984 Entrée en service le 5 novembre 1986   Saint-Renan est ville marraine de la frégate Primauguet depuis le 25 janvier 1986   Missions   Conçues pour assurer prioritairement la défense anti-sous-marine d'un groupe aéronaval, les frégates de lutte anti-sous-marine (FASM) ont vu leurs capacités d'action au-dessus de la surface fortement renforcées. La mise un place de senseurs optroniques, d'armes puissantes et de mise en oeuvre très rapide permet désormais à la FASM, non seulement d'identifier avec certitude la menace avant de la traiter, afin d'éviter toute méprise, mais aussi de conserver la plus grande retenue possible avant l'engagement, dans le but de ne pas élever le niveau de la crise. Bâtiment de combat moderne et performant, la FASM constitue un outil militaire puissant, capable d'intervenir, seul ou au sein d'une force interarmées nationale ou multinationale, en tout point des mers où la France a décidé d'agir pour maintenir ou restaurer la paix. Caractéristiques Déplacement : 4 010 tonnes et 4 910 tonnes à pleine charge Longueur : 139 mètres Largeur : 15 mètres Tirant d'eau : 5,50 mètres Tirant d'air : 47,60 mètres Vitesse : 30 nœuds avec les turbines à gaz (TG) et 21 nœuds avec les diesels Distance franchissable : 800 nautiques à 30 nœuds sur TG et 8 000 à 15 nœuds sur diesels Autonomie : 45 jours Énergie et propulsion Propulsion type CODOG, avec 2 turbines à gaz Rolls-Royce Olympus TM 3 B x 26 000 ch (19 120 kW) pour la marche à grande vitesse 2 moteurs diesel de SEMT Pielstick 16 PA 6 V 280 x 5 200 ch (3 824 kW) pour la navigation économique 2 hélices quadripales à pas variable 52 000 ch (38 240 kW) 4 diesels alternateurs de 850 kW chacun Équipements électroniques 1 radar de veille surface-air basse altitude DRBV-15 A 1 radar conduite de tir DRBN-33 A 2 radars DRBN-34 (Racal-Decca) ou 1007 (Kelvin Hugues) 1 sonar actif de coque DUBV-24 C 1 sonar remorqué DUBV-43 1 sonar DSBV 61 B 2 brouilleurs ARBB-36 1 détecteur ARBR-17 2 lance-leurres Dagaie Mk2 1 bruiteur remorqué SLQ-25 1 intercepteur SAIGON Système de direction de combat SENIT 4 (+ liaison 11 ) Système de transmission par satellite Syracuse Système de télécommunications par satellite Inmarsat Équipements Système Prairie-Masker d'émission de bulles d'air le long de la coque et hélices ventilées Citadelle NBC Plate-forme (21 x 12,20 mètres) Hangar (13,30 x 11,40 x 4,30 mètres) Système SEAO/OPSMER Drôme : 1 VD 9 et 1 EDO   Armement 4 missiles Exocet MM 40 Missiles Crotale EDIR (8 missiles + 18 en réserve) 2 systèmes Simbad (II x 2 missiles Mistral ) 1 canon de 100 mm Mle 68 2 canons de 20 mm F2 2 mitrailleuses de 12,7 mm 2 catapultes fixes pour torpilles anti-sous-marines L 5 mod 4 ou MU 90 (10 torpilles) 2 hélicoptères WG-13 Lynx , à vocation principale de lutte anti-sous-marine   Équipage 20 officiers (dont 4 pilotes ) 180 officiers mariniers 40 quartiers-maîtres et matelots http://www.dailymotion.com/video/xpw93t_fregate-latouche-treville-en-pleine-tempete_creation
Article
Marine Nationale, intérêts maritimes de la France et communauté juridique, Les Annonces de la Seine
15 avril 2012
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